La vraie magie de la vie, c’est de la vivre…

J’ai trouvé cette phrase, dans un jeu de carte que j’ai baptisé Ah ma terre…
En ce mois de mars où le printemps commence à s’annoncer, la nature refleurit et en relation avec les thèmes exploraient pendant les initiations maternel, féminin et masculin sacrés, la floraison intérieure qui évolue aussi aux rythmes des saisons.
Dans le texte initiation Yoni écrit par Miranda Gray, il y a le mot « aliénation » concernant pour les femmes le 1er centre énergétique, utérus… les organes de la femme.
Quand j’ai reçu cette initiation en 2012 et jusqu’à la nouvelle conscience maintenant, ce mot résonnait surtout dans l’aspect sexualité, de l’entendre dans les conditionnements de l’histoire des femmes, des conséquences éventuelles d’aliénation sexuelle en sentiment de manque de liberté, de privations.
Pour les initiations effectuées en Février , spontanément une autre clarté de ce même mot est apparue dans un aspect global , c’est-à-dire comprendre le mot dans ce contexte, aliénation des énergies maternelles en soi, dans un aspect exclusivement maternant ou maternel dans lequel il peut il y avoir la sexualité mais dans une faible proportion par rapport aux conséquences beaucoup plus nocives dans la perception unique par conditionnement de l’énergie maternelle , supposé exclusivité réservée aux femmes que cela soit , soit dans l’avantage supposé, soit dans le devoir supposé.
Elargir la conscience à intégrer cette énergie maternelle comme faisant partie de l’énergie du féminin que l’on soit une femme ou un homme, permet de restaurer en soi, notre maternel et maternant intérieur et par le sécurisant intérieur de cette énergie redevenir consciemment par cet amour bienveillant :
Autonome, libre , indépendant(e) par l’amour intérieur de cette énergie pour toutes formes de créativités de vie souhaitée , être pleinement conscient (e) de notre magie créative en pleine sécurité d’amour intérieur rayonnant à l’extérieur, connaître et vivre par notre identité vraie intérieure.
Les pratiques de sophrologie ont en parallèle des initiations , la capacité d’une prise de conscience directe, car dans l’assiduité des pratiques, il y aura de percevoir en même temps du résultat équilibrant de la conscience respiratoire , de son sens et développement des sens, progressivement ressentir qu’à l’intérieur il y déjà un souffle qui se trouve dans la région du cœur et sentir que ce souffle- là, il est indépendant , qu’il y a toujours été, en fait les pratiques sophrologiques vont être le chemin pour se reconnecter à ce souffle invisible, peut être appelé ÂME…
Ce souffle est énergie, il unifie les énergies féminin, maternel, masculin, avec la même égalité intérieure aussi bien pour les femmes que pour les hommes , par expérience, cela peut permettre progressivement de nous libérer des conditionnements des caricatures de vision limitante du représentatif extérieur de la femme et de l’homme, pour vivre de façon incarnée avec l’énergie cœur de l’énergie du féminin, intégrant l’énergie maternelle, et invitant l’énergie du masculin pour rayonner à l’extérieur dans la matière et pouvoir associer :
Enthousiasme avec conscience…
Pour ce mois-ci et dans la chronologie, je vous propose la pratique de « Centrage », par plaisir la phrase de Caycédo :
La sophrologie : un art de vivre, une science, une thérapie »
Bonne balade en vous, celle-là est toujours libre et accessible partout…
Marie-Hélène